CHANGEMENT VIBRATOIRE DE LA PLANETE ET GEOBIOLOGIE (1)
(Par Alain Cregut, géobiologue)
Actuellement,
nous connaissons une montée vibratoire sans précédent.
Les précisions apportées par la géobiologie sont
très rassurantes et nous incitent à accompagner
individuellement ce mouvement ascendant.
L’évolution
rapide des vibrations de notre planète est troublante. Son
amplitude est telle qu’il nous arrive de perdre nos repères
et de ne plus nous sentir en phase. Une géobiologie saine et
consciente de sa puissance peut nous rassurer et nous éclairer.
La
Terre augmente ses vibrations, ce n’est un secret pour personne.
Les lieux de nature sont déjà différents d’il
y a seulement 10 ans, ils sont plus légers, plus lumineux. Les
villes mêmes sont devenues plus faciles à vivre. Des
manifestations se multiplient, plus douces, plus portées vers
la culture et de saines relations humaines (le 7/7/07 fut fêté
par toutes les communes de l’Ardèche !)
Tracés
régulateurs pour valoriser le Lieu.
Il y a de nombreuses similitudes entre l’énergie d’un bâtiment harmonisé et l’évolution énergétique de la Terre. Notre observation se base sur des actions d’harmonisation de plusieurs centaines de maisons et d’entreprises sur un territoire couvrant une grande partie de la France. En calant un bâtiment sur les paramètres fondamentaux des solstices et du balayage solaire, on multiplie les qualités intrinsèques du Lieu, offrant ainsi une meilleure possibilité aux personnes d’animer leur habitat. Ces techniques sont identiques à celles utilisées depuis début 2000 (tracés régulateurs). Les résultats obtenus ont évolué d’une façon très encourageante.
Ce
changement positif n’a pas pu se faire sans une évolution
des systèmes naturels. Ils ont évolué lentement
jusqu’en 2004, puis les choses ce sont accélérées
chaque année un peu plus, rendant les critères
d’appréciation beaucoup plus "visibles" qu’à
l’époque. Ils continuent leur ascension sous une forme que
l’on pourrait qualifier d’hyperbolique.
Des observations concrètes.
On
sait maintenant avec certitude que l’existence des réseaux H
est due à la pollution électrique 50Hz, nous constatons
que malgré la quantité croissante des lignes aériennes
ou enterrées, et des maisons suréquipées, la
puissance des réseaux H diminue sans raison apparente.
L’harmonisation terminée, ils sont proches de zéro.
Leur affaiblissement à l’extérieur est aussi une
évidence. À l’inverse, les réseaux naturels et
solaires se renforcent considérablement.
Prenons
un autre critère important en géobiologie : le taux
vibratoire. Une maison bien harmonisée, avait un taux entre
20000 à 24000 unités bovis (UB). Nous avons, fin juin
2007, mesuré le taux vibratoire d’une maison, il était
à 53000 UB (mesures effectuées en triple aveugle avec
un radiesthésiste et deux géobiologues). Ce n’est pas
une exception, l’énergie des bâtiments harmonisés
ne descend plus en dessous 45000 UB.
D’autres
données plus subtiles apparaissent après harmonisation.
Du fait de l’action de ces vibrations sur la molécule d’eau,
une légèreté fait vibrer l’air ambiant, le son
est plus clair, plus aérien. La lumière exprime aussi
les changements qui s’opèrent.
Dans les espaces naturels,
depuis trois ans, l’air est plus transparent, les montagnes à
l’horizon semblent moins lointaines, comme si l’espace
constituait une lentille grossissante.
Ce type d’observation dépasse même la planète : alors que la pollution est plus forte qu’elle ne l’a jamais été, le clair de Terre est à nouveau visible (reflet de la Terre sur la Lune). Ce phénomène avait disparu depuis plus de 10 ans du fait de la pollution atmosphérique et son retour est encore un mystère scientifique. Le rapprochement avec ce qui se passe à l’intérieur d’une maison harmonisée ne semble pas déraisonnable. En effet, après un travail poussé sur les mémoires et un enracinement du bâti, les pièces semblent plus spacieuses, plus lumineuses, les détails se définissent mieux au regard.
(...)