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CHEMINS DE VIE
11 février 2013

L'invention du virus du sida (2)

Livre de Peter H. Duesberg   

Présentation

Le Scoop: Le VIH n’est pas la cause du SIDA… Le SIDA n’est pas sexuellement transmissible… Les médicaments antirétroviraux provoquent des maladies symptomatiques du SIDA…

Tels sont les assertions du Dr. Peter Duesberg, un des plus prestigieux microbiologistes du monde, membre de la National Academy of Sciences des États-Unis, pionnier de la virologie et de la rétrovirologie.

• Si le VIH est la cause du SIDA, pourquoi des milliers de victimes du SIDA n’ont-elles jamais été infectées par le VIH? Le courant scientifique dominant a éludé cela en inventant une autre nouvelle maladie afin de désigner ces cas de SIDA séronégatif: le manque de lymphocytes CD4 T dû à une cause inconnue.

• Pourquoi des centaines de milliers de personnes ayant été, depuis de nombreuses années, infectées par le VIH, sont-elles demeurées en parfaite santé? Le courant dominant a appelé ces personnes des «contrôleurs d’élite» mais n’a jamais été en mesure de fournir la moindre explication à ce phénomène qui pourrait conduire au vaccin depuis longtemps promis.

• Pourquoi Luc Montagnier, le découvreur du virus VIH, affirme-t-il désormais que ce virus ne peut être la seule cause du SIDA?

• Pourquoi n’a-t-on encore pu mettre au point aucun vaccin, après plus de vingt-sept années de recherches ayant englouti plusieurs dizaines de milliards de dollars, alors que Jenner avait produit le premier vaccin antiviral contre la variole au départ d’une vache atteinte de la vaccine. Cela en 1796 (!), en moins d’une année et pour une somme ne dépassant pas 60 livres sterling?

 

Dans L’Invention du Virus du SIDA, Peter Duesberg soutient que le SIDA est une épidémie de nature toxique (chimique) et non virale. N’étant, par conséquent, pas contagieux, il ne peut être traité par un vaccin, et se trouve en corrélation avec une consommation à long terme de drogue et/ou de médicaments antiviraux, ou encore avec les conséquences biochimiques de la pauvreté et de la malnutrition.

 

Début du livre: "Le sida: une guerre perdue d'avance".

"On peut dire que la guerre contre le SIDA a été, dans tous les sens du terme, une défaite colossale. Dans les douze années qui ont suivi l’annonce que le Virus d’Immunodéficience Humaine (VIH) serait la cause du SIDA (Syndrome d’ImmunoDéficience Acquise), nos scientifiques et décideurs les plus éminents n’ont pu démontrer que leurs efforts avaient sauvé une seule vie humaine. Cette situation lamentable s’applique autant aux Etats-Unis qu’à l’Europe et l’Afrique.

Cette guerre a été menée en vertu de l’hypothèse virale du SIDA qui soutient que le VIH, virus du SIDA, est la nouvelle cause d’une trentaine d’anciennes maladies, parmi lesquelles le sarcome de Kaposi, la tuberculose, la démence, la pneumonie, la perte de poids, la diarrhée, la leucémie et quelques vingt-trois autres (voir chapitre 6). Dès que l’une de ces maladies se déclare chez un patient qui présente des anticorps contre le VIH (mais rarement le VIH lui-même), sa maladie est diagnostiquée comme SIDA et attribuée au VIH. Si la même affection se produit chez un patient qui ne présente pas d’ anticorps contre le VIH, sa maladie est diagnostiquée sous son ancienne appellation et attribuée à des causes chimiques ou microbiennes conventionnelles.

Ceci est illustré par les exemples suivants:
1. Sarcome de Kaposi avec anticorps VIH = SIDA
Sarcome de Kaposi sans anticorps VIH = Sarcome de Kaposi
2. Tuberculose avec anticorps VIH = SIDA
Tuberculose sans anticorps VIH = Tuberculose
3. Démence avec anticorps VIH = SIDA

Démence sans anticorps VIH = Démence

Aucun scientifique ni aucun médecin n’a jusqu’ici revendiqué la découverte d’un vaccin contre le SIDA; aucun vaccin n’étant prévu avant au moins plusieurs années. Alors que l’épidémie de poliomyélite s’était terminée en un peu moins d’une décennie dès que les vaccins de Jonas Salk et d’Alfred Sabin furent rendus disponibles à grande échelle, aucun médicament utile et efficace n’a jusqu’ici été produit pour traiter le SIDA. Les malades du SIDA n’ont que le choix entre la Zidovudine (AZT) et, selon le cas, la dideoxyinosine (ddI) ou la dideoxycitidine (ddC). Tous ces médicaments ont initialement été mis au point pour détruire les cellules humaines cancéreuses et comportent tous les effets secondaires de la chimiothérapie tels que perte des cheveux, dégénérescence musculaire, anémie, nausées et vomissements: un prix lourd à payer pour des résultats très discutables. En fait ces médicaments occasionnent par eux-mêmes des symptômes semblables à ceux du SIDA. Les médecins peuvent tout au plus réconforter leurs patients mourants, surveiller leur état de santé en simulant l’optimisme.

Les fonctionnaires de la santé publique ne peuvent toujours pas démontrer que leur effort ait tant soit peu contribué à infléchir le cours de l’épidémie ni qu’ils aient même empêché qui que ce soit de contracter le SIDA. En dépit des divers programmes d’éducation préventive ayant cours dans les écoles ou dans l’ensemble de la communauté, de même que les divers programmes, officiels ou non, de distribution de préservatifs ou de seringues hypodermiques stériles pratiqués en Europe et aux Etats-Unis, aucune diminution notable du nombre des nouveaux cas de SIDA n’a pu être observée où que ce soit. Au contraire, chaque année amène son nouveau lot de malades du SIDA. Plus incroyable encore, les analyses de dépistage pratiquées à l’échelle nationale, auprès des donneurs de sang n’ont montré aucune diminution des cas de maladies associées au SIDA (telles que pneumonie, candidose et lymphome) ni du taux de mortalité parmi les receveurs de transfusions, hémophiles y compris. (1)

Pire encore, les experts ont dû constater que leurs estimations et projections se révélaient d’une inexactitude on ne peut plus embarrassante. La soi-disant période de latence (le temps s’écoulant entre l’infection par le virus et l’apparition des symptômes cliniques du SIDA chez un patient) avait d’abord été évaluée à dix mois en 1984. (2) Depuis, cette période d’incubation a été presque annuellement réévaluée vers le haut. Elle est actuellement de dix années ou plus. Même au niveau clinique, le pronostic des médecins s’avère, pour chaque patient séropositif, désespérément imprévisible. Ils ne peuvent prévoir quand une personne séropositive saine tombera malade ni quelle maladie l’affectera, une infection mycosique, une pneumonie, un cancer du sang, la démence, ou peut-être aucune maladie du tout.

Les estimations concernant la propagation du virus ont entre-temps suscité un autre problème: La science officielle a continuellement annoncé une propagation exponentielle du SIDA au sein de l’ensemble de la population par transmission sexuelle du VIH, frappant les hommes et les femmes de manière égale, les homosexuels aussi bien que les hétérosexuels. Cette explosion de la maladie devait être suivie d’une augmentation correspondante du taux de mortalité. Cependant, en dépit d’un recours extensif à des tests anticorps pour le VIH (appelés communément tests SIDA) qui conduisirent les autorités à déclarer qu’en 1985 un million d’Etats-uniens étaient déjà contaminés par le virus, le nombre de séropositifs états-uniens est demeuré le même qu’en 1985, c’est-à-dire un million. (3) En bref, cette prétendue maladie virale qui a déjà contaminé un million d’Etats-Uniens ne semble pas se propager aux 250 millions restants. Le SIDA lui-même n’a pas encore affecté un grand nombre de femmes et, mis à part les toxicomanes, n’a pas atteint la population hétérosexuelle. Neuf patients du SIDA sur dix sont toujours de sexe masculin et plus de 95 pour cent d’entre eux tombent dans les catégories à risque: homosexuels, usagers de drogues dures et, dans certains cas, hémophiles. (4) En Afrique, les six à huit millions censés être contaminés par le VIH ne se sont traduits que par 250.000 cas de SIDA, c’est-à-dire 3 à 4 pour cent de la population séropositive. Haïti, où 6 pour cent de la population étaient reconnus séropositifs en 1985, a été jusqu’ici relativement épargnée par l’épidémie du SIDA. (5)

Il y a quelque chose d’entièrement faux dans cette situation. Comment est-il possible que l’institution scientifique la plus vaste et la plus évoluée de l’histoire humaine ait pu échouer aussi misérablement alors qu’il s’agissait de sauver des vies et de prévoir le nombre de victimes de cette épidémie? Certainement pas par manque de ressources. Avec un budget fédéral de 7 millions de dollars US, le SIDA est devenu l’épidémie la mieux subsidiée (au point de vue recherche) de tous les temps. Non seulement y a-t-il des milliers de scientifiques employés 24 heures sur 24 dans une course permanente pour dénouer les mystères de ce syndrome, mais les chercheurs disposent des technologies les plus sophistiquées de l’histoire. Grâce à ces techniques, ils sont parvenus à détecter et manipuler des molécules particulières, une chose qui aurait paru inimaginable aux savants qui combattaient la variole, la tuberculose et la polio quelques années auparavant. Jamais non plus, les chercheurs du SIDA n’ont manqué d’information scientifique. Avec plus de cent mille communications publiées sur ce seul syndrome, la littérature consacrée au SIDA est seulement surpassée par l’ensemble des littératures consacrées à tous les types de cancers au cours de ce siècle. L’épreuve décisive quant à la validité d’une hypothèse médicale réside dans le bénéfice qu’elle apporte au point de vue de la santé publique. L’hypothèse virale du SIDA n’a produit aucun résultat bénéfique de ce genre. Devant pareille débâcle médicale, les scientifiques devraient se poser cette question simple mais essentielle: Quelle est donc la véritable cause du SIDA?

La solution que réclame cette épidémie ne réside pas dans l’augmentation des subsides à la recherche ni dans des efforts visant à rendre la science plus productive. La solution relève plutôt d’une réinterprétation de l’information existante. La plus importante tâche à laquelle la science doit s’atteler est, non pas de mettre sans cesse à jour de nouvelles connaissances, mais d’apporter un sens aux connaissances que l’on possède déjà. Sans un retour en arrière pour vérifier le bien-fondé de ses suppositions sous-jacentes, la science risque de ne pouvoir jamais donner de sens à son accumulation d’informations brutes. L’échec colossal de la guerre contre le SIDA est une conséquence prévisible lorsque des scientifiques opèrent leur recherche au départ d’une supposition défectueuse sur laquelle ils ont construit un gigantesque édifice d’idées erronées. L’unique faille qui a déterminé le destin catastrophique de la recherche sur le SIDA depuis 1984 était la supposition que le SIDA était de nature infectieuse. Une fois engagés dans la mauvaise direction, les chercheurs ne pouvaient qu’en arriver à davantage de fausses présomptions et élaborer un gigantesque édifice d’idées fausses.

La seule solution serait de remettre en question l’hypothèse selon laquelle le SIDA est de nature infectieuse et occasionné par le virus VIH. Mais le déluge providentiel des subventions fédérales et industrielles a mobilisé une armée d’experts en VIH-SIDA qui comprend des scientifiques, des journalistes et des activistes qui ne peuvent se permettre de remettre en cause le bien-fondé de leur croisade. Ils sont des milliers à se disputer une plus grosse tranche du gâteau que représentent les subventions et les publicités accordées au SIDA, et à produire pour cela de plus en plus le même genre de science, en quantité dépassant même les exigences de la compétition. Dans ce climat, remettre en question les principes fondamentaux pourrait être fatal au gagne-pain et à la prospérité de milliers d’entre eux.

Avant de devenir un partisan du VIH-SIDA, John Maddox, l’éditeur de Nature, la plus ancienne revue scientifique du monde, exposait le dilemme:

Existe-il un danger, en biologie moléculaire, de voir que l’accumulation de connaissances puisse prendre le pas sur leur assimilation de telle manière que ces connaissances finissent par constituer une entrave à la compréhension scientifique? Le problème est en partie dû au fait que l’excitation qui accompagne cette course laisse peu d’espace à la réflexion et qu’il y a toujours des subventions pour la production de connaissances mais jamais aucune pour la prise de recul et la méditation. (6)

 

Pour lire la suite cliquer sur le lien ci-dessous (1er chapitre entier du du livre "L'invention du virus du sida":

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