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CHEMINS DE VIE
9 juin 2014

VACCIN MYSTIFICATION : Mystification d'imbéciles

En matière de vaccinations, le "rapport Bénéfices-Risques" est inacceptable!

Lorsque les autorités mettent en avant le rapport Bénéfices-Risques pour justifier la vaccination, en faisant, bien sûr, pencher la balance du côté des avantages, elles  nous présentent, comme disent les Belges, des carabistouilles ou, comme disent les Canadiens,  des menteries.

Un vaccin pourrait être acceptable UNIQUEMENT s’il ne comporte absolument AUCUN RISQUE, car il s’adresse à des bien portants à qui on propose d’éviter une maladie hypothétique. Une personne malade à qui on présente un remède qui comporte des dangers, peut choisir de prendre des risques, mais pas un enfant en bonne santé qui n’a que très peu de probabilité d’attraper les maladies pour lesquelles il existe un vaccin actuellement, surtout dans une forme grave. Quel est le risque réel pour un enfant de développer, aujourd’hui  en France, une diphtérie, une poliomyélite (à virus sauvages), un tétanos, une hépatite B mortelle, une rougeole mortelle? Quant aux maladies infantiles (oreillons, rubéole, varicelle, tout comme la rougeole) on sait qu’il vaut mieux les faire naturellement à l’âge normal que de faire des formes bâtardes vaccinales plus dangereuses à l’adolescence.  Si l’on évoque les autres vaccins, il en va de même car il n’y a nulle menace d’épidémie ravageuse sur les enfants. 

Alors pourquoi  de telles pressions pour vacciner? On voit très bien que la politique vaccinale ne vise pas à protéger les enfants puisque le danger n’est pas présent. Elle ne vise pas plus à éradiquer les germes, car chacun comprend bien que c’est là mission impossible, irréaliste et dommageable car on ne peut pas vivre sans les microbes: on sait très bien que les vaccinations, en empêchant les micro-organismes de se reproduire, fragilisent l’écosystème et font disparaître les rappels naturels qui assuraient une bonne immunité dans la population; par ailleurs, les vaccinations de masse entraînent un phénomène de «commutation» (remplacement) en favorisant l’émergence de nouvelles souches (poliovirus, pneumocoques, méningocoques, papillomavirus, etc.) qui s’ajoutent aux souches existantes ou les remplacent avec souvent une virulence bien plus grande. Elle ne vise pas davantage à protéger la collectivité «artificiellement» puisque des épidémies surgissent dans les populations les plus vaccinées, que les germes vaccinaux mutent et se répandent perpétuant la contagion et que la collectivité, n’étant pas une masse uniforme, constitue une palette infinie de réactions individuelles qui rendent impossibles la standardisation et l’établissement de normes chiffrées.

La raison d’une telle contrainte vaccinale est à chercher ailleurs. En tout état de cause, nous sommes dans une grave violation de la déontologie médicale puisque le bénéfice n’est pas démontré et que le risque est évident et reconnu par tous (fabricants, corps médical, responsables politiques, etc.).  Risques et bénéfices ne sont pas à mettre sur le même plan. Seulement, par une vicieuse et perverse manipulation mentale, on nous fait croire que pour notre bien nous devons accepter le risque.  Cela revient à légitimer la victimisation. Nous convenons, comme à l’armée, qu’un certain pourcentage de pertes est admis.  En terme plus triviaux, nous admettons «la casse».  Notre  démission devant l’inacceptable donne aux vaccinologues un blanc-seing  et fait d’eux des  seigneurs ni responsables ni coupables. Vous avez tous entendu ça: «Des victimes?  Peut-être, mais ce n’est pas de notre faute, elles n’ont pas supporté le vaccin, elles avaient des prédispositions, leur pathologie est une coïncidence, elles l’avaient d’ailleurs avant mais elles ne s’en étaient pas aperçu, ou bien alors, c’est le fruit de leur imagination, on avait pourtant bien prévenu qu’il y avait des risques, c’est pas de chance, mais la médecine va s’occuper d’elles, nous avons dans nos officines tout un arsenal  de drogues qui  feront l’affaire...» .

En présentant le risque comme un mal nécessaire, la vaccinologie commet un crime de lèse-majesté. Une atteinte à l’intégrité physique est punie par la loi (Code civil Chapitre II, art 16 et suivants). Un médecin qui ne respecte pas le serment d’Hippocrate dans son principe fondamental «Primum non nocere», est passible de sanctions (code de déontologie R. 34127-1 et suivants). Une personne, fut-elle très haut placée, qui incite à la victimisation des individus, commettant ainsi des actes de tortures et de barbarie,  doit en répondre devant les tribunaux (Code de Nuremberg). Le politique qui fait valoir que la collectivité prime sur l’individu commet une violation de la Convention d’Oviedo signée par la France.  La liste des textes réglementaires qui garantissent aux citoyens la liberté de leur corps est très fournie, tant en France que dans les autres pays. Pourquoi bafoue-t-on allègrement tous ces textes dès qu’il s’agit de vaccinations  et fait-on croire aux citoyens des carabistouilles? Citoyens, réveillez-vous, refusez de vous faire empoisonner au nom de principes qui n’ont aucun fondement, aucune légitimité ni scientifique ni juridique. L’obligation vaccinale est anticonstitutionnelle, rien ne la justifie, ni en France où il existe des lois d’obligation, ni ailleurs où les contraintes sont coutumières et non légales.

Françoise JOËT

source :http://artdevivresain.over-blog.com/

 

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