AUTOGUERISON (fin)
L'autosuggestion
dépend de la maladie, du malade et de son niveau de
conscience, des thérapeutes qu'il rencontre et de la région
où il habite. Pour des petites choses, c'est simple et
beaucoup peuvent y arriver. Pour des choses plus graves ou plus
anciennes, il ne faut pas hésiter à se faire
accompagner pour prendre tout de suite les bonnes options et remettre
aussitôt de l'ordre.
Toutes
les médecines de vie sont des catalyseurs qui permettent de
remettre en route les forces d'autoguérison. L'organisme n'est
pas forcé, il est simplement sollicité pour reprendre
le chemin d'une vie normale et saine.
Homéopathie, acupuncture, médecine traditionnelle chinoise, magnétisme, travail sur les mémoires cellulaires, psychogénéalogie, médecine ayurvédique, naturopathie, chamanisme, massages, toutes les techniques du toucher corporel...semblent différents à première vue, mais finalement se ressemblent beaucoup.
C'est
l'aspect technique, la voie d'approche qui s'expriment de façon
différente, mais le mode de pensée et les résultats
se rejoignent.
La
voie est ouverte et c'est au malade jouer la partition, même si
on lui tient la main pour le guider.
Du
« mal a dit » au « gai-rit »
On devrait être son propre thérapeute tout au long de la vie. Pas facile dans notre société occidentale qui tend à nous couper de nos racines et nous fait vivre dans la peur. En fait, l'allopathie devrait rester la médecine d'exception pour répondre aux problèmes gravissimes.
Les
Orientaux semblent plus à l'aise que nous pour se prendre en
charge. Médecine traditionnelle chinoise, médecine
ayurvédique, chamanisme... tiennent compte de tous les aspects
de la vie avant d'aborder les problèmes à traiter.
L'harmonie retrouvée avec soi, son entourage, le cosmos, sa part du divin, fait de la vie un parcours plus simple, heureux et bénéfique.
Pour guérir, ouvrez votre coeur, voyez tous les
petits bonheurs de tous les instants et sachez les savourer.
Notre
époque est formidable puisqu'aujourd'hui beaucoup de personnes
sont conscientes de tous ces nouvelles approches. Ne pas en profiter
et/ou ne pas donner l'information à ceux qui sont dans la
souffrance physique et/ou psychologique est dommage. A eux de
recevoir ou non, s'ils sont prêts à entendre.
Se prendre en charge le plus jeune possible est une chance, car plus vite les problèmes sont réglés, moins leur empreinte dans le corps est profonde et plus vite on « gai-rit ». Arrivent ainsi le bonheur, la joie, la santé et la guérison.
« Il faut vouloir son bonheur pour le faire » (Alain)
On pourrait même ajouter « Il faut vouloir sa santé »
(Dr Martine Gardénal)