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CHEMINS DE VIE
24 septembre 2008

COMMENT CHANGER DE CAP (fin)

SUSCITER L’ESPOIR

Pour donner encore plus de puissance à votre levier, il s’agit ensuite d’associer dans votre esprit des sensations plaisantes au fait de changer. Les questions suivantes devraient vous aider.

     *Comment allez-vous vous sentir si vous faites le changement que vous voulez ?

   *Qu’allez-vous penser de vous-même, dans un an, cinq ans, quinze ans?

   *Quels autres changements souhaités cela va-t-il vous permettre de faire ?

   *Quelle perception de vous vont avoir votre conjoint, vos enfants, vos amis ?

Comme vous le constatez, il s’agit vraiment de se donner suffisamment de bonnes raisons pour rendre non seulement le statu quo insupportable, mais pour que le changement soit irrésistible. En résumé, augmenter le malaise et susciter l’espoir. Il n’y a de changement que si le malaise et l’espoir sont très élevés, et pas seulement un des deux.

POUR S’ASSURER DU SUCCÈS

Bien des gens ont un but, savent ce qu’ils veulent faire; de plus, leur malaise et leur espoir sont très élevés. Pourtant, ils ne changent pas ou, s’ils le font, c’est pour revenir au point de départ. Ils devraient alors faire la liste des bénéfices secondaires qu’ils retirent à laisser la situation telle qu’elle est, à garder la même façon d’agir, de ressentir. Est-ce que, lorsque je me plains de ma situation, je reçois de l’attention des autres par exemple ? Est-ce qu’en ne bougeant pas, j’évite de déplaire aux autres et ainsi de perdre leur affection ?

Si les bénéfices secondaires sont trop élevés, pas étonnant qu’on revienne à l’ancien comportement ou à l’ancienne façon de penser. Si l’on veut qu’un changement ne soit pas que temporaire, il faut absolument remplacer ces vieux modèles de penser ou d’agir par de nouveaux qui nous donneront les mêmes bénéfices ou d’autres plus puissants. Un ancien f à celle-ci s’il ne la remplace pas par quelque chose qui lui procure cette détente. Il faut remplir le vide avec quelque chose qui va procurer les mêmes bénéfices sans les effets secondaires néfastes.

Par la suite, il faut se mettre au travail et pratiquer, pratiquer, encore et encore, en n’oubliant pas de se récompenser à chaque fois qu’on réussit à mettre en pratique le nouveau comportement, la nouvelle façon de penser ou qu’on fait quelque chose qui nous rapproche de notre objectif.

CONCLUSION

Nul doute qu’il règne autour de nous un climat de stress, de tension et de peur. Pour plusieurs, l’avenir est incertain, la situation économique est imprévisible. La meilleure façon de réagir, c’est de décider individuellement et collectivement ce que l’on veut vraiment et d’agir avant que la situation nous y oblige, sans attendre que la solution vienne de l’extérieur. Cette action aura au moins le mérite de nous sortir de ces sentiments d’impuissance et d’aliénation qui font de nous des victimes.

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