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CHEMINS DE VIE
6 décembre 2013

LES 10 PLUS GROS MENSONGES SUR LES VACCINS - 2 -

MENSONGES N° 3 : Les EPIDEMIES ont disparu GRÂCE aux vaccins

"L’opinion actuelle se maintient par la presse, la propagande et les moyens financiers mis à sa disposition". (Dr Albert Schweitzer)

Nombreux sont ceux qui estiment que la plupart des épidémies ont disparu grâce aux vaccinations et qui refusent de mettre en doute leur efficacité. Pourtant, certaines épidémies qui ont ravagé nos pays ont bel et bien disparu sans aucun vaccin, ce que les partisans des vaccins font mine d’ignorer.
Mais lorsqu’on montre les courbes de décroissance des maladies, elles débutent au moment des campagnes de vaccination et non des années ou des siècles plus tôt, ce qui nous permettrait de constater que la diminution de ces maladies a commencé bien avant l’introduction du vaccin. D’ailleurs, la plupart des médecins l’ignorent, et les partisans de la vaccination s’appuient sur ces statistiques, pour la plupart tronquées et donc inexactes, pour « prouver » l’efficacité des vaccins, quand ils ne se bornent pas à la seule affirmation péremptoire que n’étaye aucune sorte de démonstration.
Ils ne se demandent jamais pourquoi ces épidémies ne continuent pas de sévir dans les pays qui n’ont pas pratiqué les vaccinations ou qui les ont abandonnées, tout comme ils semblent ignorer que l’épidémiologie et la presse scientifique internationale attestent que des épidémies se déclarent encore dans les pays où la couverture vaccinale est presque totale.
Les immunologistes s’interrogent sur les poussées épidémiques qui surviennent dans les populations vaccinées contre la rougeole, la polio, la tuberculose, la diphtérie et la coqueluche.
Ce constat est évidemment embarrassant pour eux car, à l’évidence, il s’agit d’une faillite de la vaccination.
Dans Médecine praticienne (N°467), le Pr Lépine constatait à son tour : "Dans plusieurs pays en voie de développement, on s’était imaginé qu’avec une seule campagne de vaccinations, on arriverait à résoudre le problème. Or, dans plusieurs de ces pays, la fréquence de ces maladies a augmenté, allant même jusqu’à quintupler depuis la vaccination".


MENSONGE N° 4 : Vacciner un enfant c’est le PROTEGER

"S’il n’y avait que les vrais malades à soigner, la médecine serait en situation économiquement difficile. Il faut donc convaincre l’ensemble de la population qu’elle est potentiellement malade et vendre des médicaments à ceux qui n’en ont pas besoin". (Pr Didier SICARD chef du service interne à l’hôpital Cochin, président du Comité national consultatif d'éthique)

Un enfant de parents en bonne santé naît avec un potentiel remarquable et développe progressivement son immunité. Il est parfaitement capable d’affronter l’épreuve des maladies infantiles qu’il ne faut pas redouter autant qu’on le prétend. Les parents anxieux pensent que les vaccinations sont une panacée et qu’elles éviteront les maladies de leurs enfants.
Les vaccinations affaiblissent considérablement le terrain. Les maladies aiguës, incapables de s’exprimer, peuvent se développer de façon larvée, insidieuse, faisant le lit de maladies chroniques souvent graves et inguérissables.
Il ne faut donc pas redouter les maladies infantiles, rester serein, et aider l’enfant à surmonter cette légère épreuve.
Comme le disait déjà Hippocrate : "Le corps fait une maladie pour se guérir".
Il est évident qu’il faut surveiller l’évolution des maladies infantiles afin de ne pas commettre d’imprudences qui pourraient entraîner des complications chez les enfants fragiles ou prédisposés à certaines pathologies. Paradoxalement, ce sont ces enfants qui manifestent les effets secondaires les plus graves après la vaccination.
Les vaccins empêchent parfois l’éclosion des maladies pour lesquelles ils sont prévus, mais ils facilitent l’émergence d’autres maladies, car le terrain est affaibli et se laisse assaillir par des germes qui prolifèrent et deviennent virulents.
Les vaccins de routine effectués dans l’enfance grèvent le patrimoine héréditaire et l’empêchent d’apporter une protection efficace à l’individu pendant toute sa vie.


MENSONGE N° 5 : Les accidents VACCINAUX sont exceptionnels

"Le seul vaccin sûr est un vaccin qui n’est jamais utilisé". (Dr James A. Shannon, membre du National Institute of health)

Ce mensonge est monumental. Aucun vaccin n’est jamais sûr à 100%, personne n’oserait prétendre le contraire. Cependant, en France, chaque fois que le Ministère de la santé est attaqué dans le cadre des accidents vaccinaux, il oppose l’absence de lien direct entre la vaccination et l’accident, parlant de simples "coïncidences".
Comme il est très difficile de démontrer un lien de cause à effet, surtout quand la mauvaise foi s’en mêle, cette complexité aboutit à faire porter aux victimes tout le fardeau de la preuve.
Ainsi les autorités se refusent-elles à enregistrer comme "réactions vaccinales" les accidents malheureux qu’on présume être le fruit du hasard. Faute de preuves juridiquement défendables, nombre de complications vaccinales ne sont pas rapportées officiellement. Il serait plus logique et plus moral que ce soit les laboratoires qui apportent la preuve que leurs substances ne sont pas dangereuses. Mais cela semble impossible étant donné les falsifications, de plus en plus reconnues de leurs essais sur leurs produits.
Nos voisins de la CEE sont beaucoup plus honnêtes dans leur déclaration d’accidents. Aux Etats-unis, depuis 1990, la loi oblige tous les médecins à déclarer les complications vaccinales. Aussi, de 1991 à 1996, on a officiellement enregistré 48743 complications vaccinales...
Alors qu’en France, nos pouvoirs publics clament sur tous les toits que les vaccins ne génèrent pas d’accidents secondaires, surtout chez les enfants.


MENSONGE N° 6 : Le vaccin contre le TETANOS est indispensable

"Quand on a décidé d’être aveugle, l’évidence cesse d’avoir cours" (A.Peyrefitte, l’Empire immobile)

Le tétanos n’est pas contagieux, il ne se transmet pas par contact d’individu à individu et- mention particulière – la maladie n’est pas immunisante. Dans son ouvrage La catastrophe des vaccinations obligatoires, le PR J. Tissot, qui n’était pas un gourou de secte, mais un authentique savant comme il y en avait autrefois, posait la bonne question : "puisqu’un malade guéri du tétanos n’est jamais immunisé contre une seconde atteinte, comment un vaccin pourrait-il mieux protéger de la maladie"?
Le tétanos reste aujourd’hui une maladie grave, mais rare. Environ 50% des malades guérissent spontanément.
On estime que toute plaie, si minime soit-elle, expose au risque du tétanos, ce qui est faux. Il existe, en revanche, des tétanos en l’absence de plaie. Quant au tétanos néonatal, qui atteint le nouveau-né essentiellement dans les pays pauvres, il est dû au manque d’hygiène ombilicale à la naissance.
Il faut donc relativiser les choses et ne pas céder à la panique soigneusement entretenue par ceux qui encouragent la consommation vaccinale. Pourquoi vacciner systématiquement tous les enfants contre une maladie qu’ils ne rencontreront sans doute jamais ? Sous nos latitudes, les enfants n’ont pas de tétanos, alors pourquoi tous les vacciner ?
En matière de prévention, après une blessure, on avait coutume d’administrer de façon préventive du sérum antitétanique, afin de conférer une immunité passive.
Cette pratique est tombée en désuétude en raison de son inefficacité et de ses graves inconvénients, dont on ne parlait guère avant son abandon.
Aujourd’hui, quoi qu’il en soit, on impose systématiquement le vaccin en cas d’hospitalisation pour blessure.
Le tétanos n’est pas une maladie contagieuse susceptible de provoquer des épidémies, il est très difficile d’établir des courbes significatives d’évolution.
Ce sont les pays où la vaccination est le moins pratiquée qui présentent le moins de cas de tétanos. Il se trouve que la France détient le record de cas de tétanos après le Portugal, les deux seuls pays d’Europe où cette vaccination est obligatoire.
Pour qu’il y ait tétanos, il faut absolument que ces spores se retrouvent dans un tissu en anaérobiose. La multiplication bactérienne du tétanos ne peut se faire dans des tissus sains normalement oxygénés, car la présence d’oxygène dans les tissus vascularisés entraîne instantanément la mort des bactéries. Il est donc impossible de trouver le bacille du tétanos dans les tissus normaux, bien irrigués.
C’est pour cette raison que la plupart des piqûres ou blessures septiques n’entraînent pas la maladie. C’est pour cela aussi que le tétanos menace davantage les gens âgés, car leurs tissus sont parfois mal vascularisés, nécrosés, atteints de phlébite et de mauvaise circulation.
La vaccination antitétanique est dirigée contre la toxine secrétée par le bacille, mais pas contre le microbe.
Le Dr Méric précise : "Le système immunitaire se trouve entièrement dans la circulation sanguine, dans le sang. Aussi bien, les cellules qui forment les anticorps que les anticorps eux-mêmes appartiennent à ce monde aérobie.
Tout le langage du système immunitaire appartient à ce monde aérobie. Le transport des anticorps se fait entièrement et uniquement dans la circulation sanguine et lymphatique, c’est-à-dire en aérobiose. Les plaies tétanigènes sont nécessairement et obligatoirement anaérobies donc les microbes et la toxine du tétanos et les anticorps antitoxines ne peuvent se rencontrer".
D’après lui, il est absolument impossible que les anticorps rencontrent le bacille ou sa toxine, ce qui semble imparable.
De la sorte, le vaccin contre le tétanos n’est pas du tout efficace, mais il peut toutefois être responsable de sérieux et nombreux désordres post-vaccinaux.
Les traitements non officiels reposent sur le chlorure de magnésium dont on connaît l’efficacité dans les états infectieux (diphtérie, tétanos, polio) grâce aux travaux du Dr Neveu, élève du PR Delbet. Le Dr Neveu avait rédigé un rapport sur les guérisons qu’il avait obtenues chez des personnes atteintes de diphtérie et le Pr Delbet voulut présenter ce rapport à l’Académie de Médecine, mais il se heurta à une opposition farouche de la part du corps médical.
Dans une lettre au Dr Neveu, en date du 16 novembre 1944, il révélait : "La publication de ma communication du 20 juin est définitivement refusée. Le Conseil de l’Académie a trouvé après 6 mois de réflexion, l’argument suivant : en faisant connaître un nouveau traitement de la diphtérie, on empêcherait les vaccinations et l’intérêt général est de généraliser ces vaccinations".
Voilà un exemple flagrant de mensonge par omission : les chercheurs indépendants qui trouvent des solutions efficaces et peu coûteuses, mais qui s’écartent de la voie autorisée, sont condamnés au silence.
Il ressort de ce rapport que l’Académie de Médecine a décidé délibérément d’étouffer un traitement qui aurait pu sauver des milliers de vie, mais qui aurait risqué de concurrencer les vaccins. Voilà qui donne une idée des puissants intérêts qui dictent sa conduite à l’Académie.

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