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CHEMINS DE VIE
13 mars 2015

DEPASSER LA DOULEUR PAR LA MEDITATION CREATRICE - 1 -

Chère lectrice, cher lecteur, 

Méditer ne consiste pas à « se prendre la tête », « se regarder le nombril », ni répéter à l'infini des phrases qui finissent par ne plus vouloir rien dire. 

Ces attitudes sont dépassées. Elles sont le fruit d'une mauvaise compréhension de ce qu'est la vraie méditation.

La vraie, la bonne méditation doit être créatrice, c'est-à-dire aboutir sur une amélioration non seulement de notre propre vie, mais du monde qui nous entoure.

Notre société a absolument besoin de personnes qui se tournent vers les autres et apportent des solutions aux grands problèmes sociaux

S'isoler pour faire le vide mental ou ressasser ses problèmes ne fait pas avancer le schmilblick. Cela ne mène pas au bonheur authentique. 

Méditer n'est pas non plus seulement une « mode » qui nous est venue d'Inde, du bouddhisme, de l'Orient, via des hippies cherchant plus ou moins à imiter les moines habillés en orange. 

Méditer est la capacité d'avoir une vie intérieure ressourçante, intense, et si riche qu'elle nous permet de : 

  1. Améliorer notre rapport aux autres, en adoptant une attitude plus calme, apaisée, constructive. 
  2. Augmenter notre potentiel spirituel et créateur, et ainsi mieux devenir capables de participer de façon positive au monde qui nous entoure, et même contribuer à l'embellir. 
  3. Soulager nos souffrances morales. 
  4. Soulager nos souffrances physiques.

La plupart des gens accepteront je crois les trois premiers points. 

Si vous avez la capacité de méditer, donc de vous arrêter pour fermer les yeux, vous détendre, respirer, vous apaiser et vous mettre à l'écoute de vos vrais besoins et de ce que le monde attend de vous, au-delà des fausses envies créées par la publicité, alors vous progresserez sur ces quatre points.
Reprenons les dans l'ordre.

  • Rapport aux autres : la méditation créatrice rend moins agressif, plus ouvert et bienveillant ; votre rapport aux autres s'améliore.
  • Potentiel spirituel et créateur : la méditation créatrice rend plus concentré, plus appliqué dans vos tâches et projets. Vous risquerez moins de commettre des erreurs. Vous avez un impact plus positif sur le monde qui vous entoure, que ce soit dans votre famille, votre quartier, votre entreprise ou dans vos activités et projets. 
  • Souffrance morales : ces moments de ressourcement intérieur apaisent le stress et les angoisses. Vous éprouvez moins de souffrance morale.

Par contre, c'est le quatrième point qui semble plus douteux : soulager les souffrances physiques. 

La méditation créatrice contre les maladies physiques

Si vous êtes malade, si vous souffrez physiquement, la « simple » méditation peut-elle vraiment aider à guérir ? 

Eh bien, la réponse est oui ! 

Mais je ne vais pas me lancer dans de grands discours. Je ne vais pas essayer de prouver que c'est vrai. 

Car justement, toute la question est d'y croire. Y croire, ou du moins espérer avant de commencer. Y croire, même quand on n'a aucune raison d'y croire. Il n'y a que comme cela que se révèle la véritable force de l'esprit

Je vais vous indiquer comment méditer de façon « créatrice », c'est-à-dire pour aboutir sur une vraie amélioration de votre vie et du monde autour de vous. 

Mais sur l'efficacité de la méditation créatrice, je préfère laisser parler un fidèle lecteur de Santé Nature Innovation

Témoignage de guérison

Ce lecteur s'appelle Marc Isoard. Comme il vous l'expliquera, il est touché par une maladie incurable par les moyens de la médecine conventionnelle. 

Mais la méditation créatrice l'aide à guérir. Il ne pouvait plus se tenir debout, tenir un stylo, mettre du dentifrice sur une brosse. En quelques mois, il est redevenu capable de faire 50 kilomètres à vélo, de manier la scie-sauteuse et la perceuse. 

Et il m'a autorisé à partager son expérience avec vous. Je lui laisse la parole. Merci d'être bien attentif à ce qu'il nous livre : 

« Je suis porteur du syndrome d'une maladie génétique, la maladie du X fragile.

Cette maladie est étudiée depuis 1991 seulement et j'ai dû aller en Suisse pour avoir la confirmation du diagnostic d'un laboratoire français. Il n'existe actuellement aucun traitement de la médecine traditionnelle.

  • J'ai été diagnostiqué « X fragile » en 2011 seulement, mais mes problèmes ont commencé en 2006. Depuis longtemps, mon épouse et moi animons un partenariat avec un village de brousse à l'est du Sénégal. Le jour de notre arrivée à Dakar, je ne tenais pas debout et devais me tenir au mur de l'hôtel pour pouvoir avancer. Le médecin qui m'a ausculté a accusé le médicament contre le paludisme que je prenais depuis trois jours (la malarone, anti-palu fortement dosé). (...) 
  • Je n'ai plus eu de problèmes jusqu'en 2009 (le 3 janvier exactement). J'ai fait une chûte à ski (quoi de plus banal) mais je n'arrivais pas à me relever. J'ai effectué trois descentes encore (dont je n'ai aucun souvenir) avant d'avoir des propos très surprenants, style « On m'a dit que j'étais tombé » alors que c'était moi qui venais de le raconter. J'ai dit cette phrase plusieurs fois et mon fils a appelé les secours. Je n'ai aucun souvenir de ces événements et j'ai commencé à « revenir sur terre » à mon arrivée à l'hôpital situé à 20 km de là. J'étais dans un état second mais pas dans le coma. Après de multiples IRM, scanner, électrocardiogrammes et radio de toutes sortes, tous ces examens se révélant négatifs, on m'a laissé sortir de l'hôpital sans savoir ce que j'avais. 
  • La vie a repris et, à l'occasion d'une cure thermale près de Sète, j'effectuais une sortie en vélo ; après 20 km, j'ai fait une chute et n'ai repris mon esprit qu'à l'hôpital de Sète où j'ai eu droit à tous les examens cités plus haut, tous négatifs. Je n'en ai pas du tout souvenir. Cela aurait pu être un rêve, sauf que j'avais un énorme traumatisme crânien qui m'a duré six mois. Je suis donc ressorti une deuxième fois de l'hôpital sans savoir ce qui me faisait perdre l'équilibre. 
  • J'ai décidé de chercher par moi-même et lors d'une réunion familiale, on a parlé du cas de mon petit neveu et j'ai donc décidé de me faire analyser relativement à cette maladie. Les résultats (taux 94) étaient doublement rassurants : je savais enfin ce qui me faisait perdre l'équilibre, et que j'étais simplement porteur (donc je ne serai jamais malade mental car il n'y a aucun passage possible d'un stade à l'autre). Je me suis rendu en Suisse pour consulter le spécialiste qui étudiait cette maladie et qui m'a confirmé tout ce qui est dit plus haut. Mais aucun traitement !!! 
  • J'ai consulté plusieurs médecins qui soignaient des maladies rares, pris des antibiotiques pendant plus d'un an, mais rien n'y faisait : en 2012, je marchais exactement comme un ivrogne, allant d'un mur à l'autre dans un couloir ou une petite rue, et devais me concentrer très fort sur mon équilibre et regarder où je mettais les pieds, même en terrain plat, pour éviter la chute. 
  • C'est dans le cercle de nos amis que nous avons trouvé de l'aide : une amie chiropracticienne nous soignait pour différents maux de dos et elle m'a proposé d'essayer la méditation créatrice, d'abord en groupe de cinq ou six personnes, et depuis quelques temps, des séances personnalisées plus efficaces. 

Il s'agit de se mettre dans l'intention de créer une nouvelle personnalité car nous n'utilisons que 10 % de nos possibilités et, en agissant au sein des 90 % restant, on peut créer, dans notre cerveau, de nouveaux réseaux et de nouvelles connexions de neurones qui permettront à notre cerveau de lire nos gènes et notre ADN d'une autre façon. Je me projette, en pensée, dans ma nouvelle personnalité (comme je voudrais être) en faisant comme si j'étais déjà comme cela. J'emploie donc le JE (je suis stable, je marche en ligne droite) et non pas « je ne veux plus marcher comme un ivrogne ») : pensée positive et non pas négative. J'utilise la pensée comme moyen pour arriver à l'expérience (au fil des méditations), je vis peu à peu ces expériences comme de plus en plus vraies et cela me déclenche des émotions fortes : ce sont ces émotions qui vont agir sur le corps (ou l’esprit). Le corps ou l'esprit vont peu à peu croire que la nouvelle personnalité existe déjà et vont donc se mettre en phase avec cette nouvelle personnalité. 

  • Pour illustrer mon propos, revenons à mon cas personnel : je fais de la méditation créatrice depuis janvier 2014 (un an), mais journellement depuis septembre, et dans chacune de ces méditations, je me vois marcher de façon rectiligne, faire du vélo correctement, écrire de façon aisée et faire des actions manuelles de précision (oui, j'avais également ces problèmes : ne plus pouvoir écrire, lâcher des objets sans raison, ne plus être capable de mettre mon dentifrice sur ma brosse). 

Eh bien, VIVE la MEDITATION CREATRICE ! En un an, tous ces problèmes se sont considérablement améliorés : Je marche presque en ligne droite, naturellement sans surveiller mes pieds, j'ai recommencé à faire du vélo comme avant (minimum 50 km), comme avant je bricole beaucoup (perceuse, scie sauteuse…) 

ET JE CONTINUE LES MEDITATIONS CAR CELA VA S'AMELIORER ENCORE !!!! COURAGE ET ESPOIR 

Marc ISOARD » 

Eh bien oui, cher Marc, votre message de courage et d'espoir est extraordinaire ! Nous vous disons merci de répandre autour de vous une telle énergie, une si grande joie.

(...)

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