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CHEMINS DE VIE
1 mars 2008

EPIDEMIES ET VACCINATIONS EN EUROPE

Sujets très sensibles pour lesquels je ne mettrai qu'un extrait d'un rapport du Groupe européen EFVV, publié sur le web à l'adresse suivante, et auquel je vous conseille vivement  de vous reporter. Il serait  bon, enfin, que tout le monde soit au courant de ces choses :

http://www.bio-info.be/pages/espacedossierpdf/vaccins.pdf


Les vaccinations systématiques sont toujours présentées comme une des victoires les plus éclatantes de la médecine préventive. Cette idée est ancrée profondément dans l'esprit des gens et tout particulièrement dans celui des membres du corps médical, contribuant ainsi à créer ce que l'on peut appeler, d'un point de vue critique, « le mythe de la vaccination ».

Ce mythe est basé sur trois éléments fondamentaux :

- la croyance généralisée de la disparition des épidémies du passé grâce à la vaccination;

- la croyance en l'inocuité des vaccins qui ne provoquerait que très peu d'effets secondaires;

- la croyance en une balance bénéfice/risque largement en faveur des vaccins.

Le fait de réduire la pathologie infectieuse au binôme microorganisme/hôte sans tenir compte d'autres éléments, constitue la base même de la pratique vaccinale.

Cependant, si l'on se penche attentivement sur l'évolution épidémiologique de la plupart des maladies à prévention vaccinale systématique, sur plusieurs décénnies, on constate que cette croyance n'a pas de bases solides. Quant aux effets secondaires des vaccins, à aussi la croyance ne repose pas sur des réalités.

La réduction de la pathologie infectieuse et contagieuse au binôme mircoorganisme/hôte demande aussi une révision profonde. En effet les couvertures vaccinales sont calculées à partir d'une formule mathématique basée sur un modèle qui essaie de reproduire la dynamique infectieuse; or, ce procédé ne permet pas de prendre en considération des variables fondamentales de la réalité biologique et des interrelations entre les êtres vivants dans un habitat déterminé.

LES EPIDEMIES

Nous savons que la révolution industrielle a engendré des changements profonds dans les formes de vie des populations européennes durant le 18è et le 19è siècle.

L'entassement des familles dans les faubourgs des villes, dans des conditions déplorables  est un fait bien connu et qui a inspiré de nombreuses oeuvres immortelles en littérature.

Une des conséquances du colonialisme et des changements accélérés des modes de vie qu' l'industrialisation ont imposés, fut l'éclosion, sous forme d'épidémies, de maladies inconnues sur notre continent (choléra, fièvre jaune), l'intensification des maladies déjà connues (variole, scarlatine, coqueluche, diphtérie, tuberculose) dont certaines prenaient la forme d'épidémies également, et l'émergence de maladies liées aux dures conditions de travail de la classe ouvrière, dénommées par la suite « paupiérisme ». Plus tard on emploiera à la place le terme « pathologies du sous développement » qui évoque clairement la situation dans laquelle se trouvent de vastes zones du « tiers monde ». Les caractéristiques socio-économiques de ces zones nous ramènent à la situation dans laquelle ont vécu nos ancêtres au 19è siècle, à savoir : dénutrition, promiscuité, logements insalubres, manque d'hygiène, anaphalbétisme, taux de natalité et de mortalité élevés etc...Un nouveau concept était né : la maladie comme fait social.

Bien que la conception sociale de la maladie ait déjà existé durant les siècles précédents (en 1700 B RAMAZZINI publia le « traité des maladie des artisans ») la relation entre pauvreté et maladie commença à s'affirmer dans la pensée médicale au 19è siècle, renforcée d'ailleurs par les épidémies de choléra. Les premières études statistiques ont démontré clairement les inégalités des classes sociales face à la maladie.

L'apparition de « l'hygiènisme » et son essor qui conduisit à la notion de « santé publique », fut le corollaire logique de ces observations. L'évaluation économique de la maladie menée par les hygiénistes de différents pays, en même temps que la lutte des classes et la tradition bénéfique, furent des arguments qui contribuèrent considérablement à l'amélioration de l'hygiène et des infrastructures sanitaires ainsi qu'au développement des systèmes nationaux de santé.
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Le développement de la vaccinologie a été conjoint avec celui de l'industrie chimique et pharmaceutique devenue toute puissante; c'est pourquoi lorsqu'il s'est agi de savoir quelles étaient les stratégies les plus souhaitables en matière de santé, le débat a été fortement imprégné, depuis les origines, d'une charge idéologique et émotionnelle, étant donné que, depuis les origines aussi, la vaccinologie a été liée à de colossaux intérêts scientifiques et commerciaux.

Ainsi, le débat scientifique, purement « objectif et aseptique » a-t-il été séquestré et remplacé par le marketing et la propagande.

Les vaccins dans ce contexte, ont été présentés comme les seules armes permettant la disparition et le contrôle des maladies infectieuses et contagieuses. Pourtant un examen plus attentif de l'évolution épidémiologique de la plupart des maladies pour lesquelles il y a des vaccins, de même que celles pour lesquelles il n'y en a pas, montre que la réalité est tout autre. A titre d'exemple (... ) nous envisagerons trois maladies légendaires : la diphtérie, la coqueluche et la rougeole, bien que d'autres comme la tuberculose, la grippe ou la rubéole, mériteraient qu'on s'y arrête.

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