LA POLLUTION ELECTRO MAGNETIQUE
Comme
l'a expliqué Jean-Pierre Lentin dans son livre « les
ondes qui tuent, les ondes qui soignent », nous baignons
dans une atmosphère dangereusement perturbée par les
ondes électromagnétiques parasites des satellites
numériques, des antennes relais, des radars, des
télécommunications et, beaucoup plus près de
notre tête et de notre corps, par des outils devenus
indispensables : le téléphone mobile et l'ordinateur.
Ces ondes parasites dérèglent le biomagnétisme
naturel de l'organisme, augmentant la fréquence et la gravité
des maladies dégénératives, dites « de
civilisation » comme la scérose en plaques, la
myofasciite à macrophages, la fibromyalgie, les maladies
d'Alzheimer et de Parkingson et les cancers.
A
contrario les recherches en biophysique médicale ont donné
naissance à des appareils de soins électromagnétiques
capables de rééquilibrer l'activité des
cellules vivantes et de réaccorder le biomagnétisme au
diapason naturel de la Terre, un spectre de fréquences vitales
que celle-ci n'aurait jamais perdu sans l'intervention irresponsable
de la technologie humaine.
QUAND
LE POLLUEUR S'APPELLE « MOBILE »
Dans
l'indifférence des hommes politiques et des technocrates
savamment endormis par les lobbies, un crime contre l'humanité
se perpétue silencieusement sous la forme d'un progrès
inéluctable et générateur de profits
astronomiques auprès desquels la santé publique n'a que
très peu de poids.
A
travers le fracas tonitruant des clips publicitaires vantant les
joies d'une consommation technologique sans bornes, des voix
s'élèvent; les voix de scientifiques dont l'éthique
n'a pas été entamée par l'appât du gain et
qui dénoncent les méfaits des ondes électromagnétiques
parasites.
En
1997, le Pr Madeleine Bastide (Faculté de Pharmacie,
Montpellier) signale une diminution de 80% de la production de
mélatonine due à la pollution électromagnétique
du téléphone portable et de l'écran
d'ordinateur, ce qui incrimine ces appareils dans l'augmentation
exponentielle des cas de cancer du sein.
En
2001, le Pr Reba Goodman, immunologiste de renommée mondiale
de l'Université de Colombia (New York) démontre que ces
mêmes ondes activent trois oncogènes de l'ADN. Le Pr
Gérard Hyland, de l'univerisité de Warwick (GB) met en
évidence de manière irréfutable une grave
altération des ondes cérébrales par ces mêmes
appareils, et le Pr Leif Salford, de l'hôpital universitaire de
Lund (Suède), après avoir expérimenté
l'action du téléphone mobile sur des cerveaux de rats
déclare : « les adolescents qui aujourd'hui
téléphonent plus de deux minutes par jour sans une
protection efficace, auront une maladie d'Alzheimer à 30 ans.
En janvier 2004, le rapport Stewart est publié à Londres, avec la recommandation de ne pas permettre à des enfants de moins de 8 ans d'utiliser un téléphone mobile « en raison des atteintes cérébrales constatées ». Et tandis que les assureurs font disparaître le risque électromagnétique de leurs polices, les opérateurs de téléphonie mobile feignent de ne pas savoir qu'il existe maintenant une protection efficace – le CMO (oscillateur magnétique de compensation) – contre les nuisances des appareils qu'ils commercialisent par vagues de centaines de millions d'exemplaires à travers le monde. Retardant le moment où ils devront reconnaître les risques qu'ils font courir aux populations et en particulier aux jeunes, ils ne se rendent pas compte qu'ils participent sciemment à une intoxication électromagnétique généralisée.
ON
POURRAIT EVITER LES MALADIES, MAIS...
Parallèlement,
des forces manipulatrices tentent d'étouffer l'émergence
d'appareils électromagnétiques capables de corriger les
dégâts causés par les ondes parasites et de
redonner à l'organisme les fréquences dont les cellules
ont besoin pour rester en bonne santé et communiquer entre
elles par couplage de résonance : Amsat (appareil de
diagnostic d'origine russe), Ulticare (générateur de
champs magnétiques pulsés, également d'origine
russe), Biocinat (appareil de ionicinèse), un appareil
d'électrocolloïdothérapie, parmi d'autres
inventions géniales qui permettent de diminuer la quantité
de médicaments et de compléments nutritionnels à
ingurgiter, parce que leur mode de fonctionnement repose sur le
principe de la restauration du système immunitaire : prévenir
plutôt que soigner. Guérir, c'est une autre histoire,
qui suppose que le patient lui-même en ait réellement
envie.
(Alex VICQ)