VACCINS ET SYSTEME IMMUNITAIRE (1)
Je reviens sur le sujet des vaccinations car il me semble très important compte tenu du manque d'information - ou de la désinformation - qui règne actuellement dans ce domaine. C'est à chacun de se faire son opinion et de prendre ses responsabilités, mais on moins on ne pourra pas dire "je ne savais pas".
Et
si, au lieu de le stimuler, les vaccins perturbaient le
fonctionnement du système immunitaire au point que ce dernier
produise des anticorps qui se retournent contre l'organisme ? Ne
joue-t-on pas aux apprentis sorciers ?
A
la naissance, ce système n'est pas encore complètement
élaboré, et pendant les premiers mois, le nourrisson
est protégé par les anticorps transmis par sa mère.
Cette immunité héritée est, peu à peu,
remplacée par une immunitée personnelle qui s'installe
au fur et à mesure que l'enfant rencontre des germes, des
microbes ou virus.
Nous
vivons en symbiose avec les microbes et si nous les considérons
comme nos ennemis, nous entrons dans une logique de guerre qui va à
l'encontre de tous les processus naturels et met en péril
notre système immunitaire.
De nombreux savants adhèrent à la théorie du Pr Antoine Béchamp selon laquelle ce ne sont pas les germes qui provoquent les maladies, mais la rupture de l'équilibre métabolique. Les microbes se mettent à proliférer lorsque l'organisme est altéré et désorganisé.
Certains agents pathogènes peuvent persister dans les tissus sans causer de dégâts, alors que d'autres peuvent déclencher une maladie malgré la présence d'anticorps.
Les
micro-organismes sont principalement andogènes et sont des
composants d'éléments vitaux plus élaborés.
Leur fonction est de participer au maintien de la vie. « Ces
virus sont-ils bien en dehors de nous ? ?e viendraient-ils pas de nos
organismes traumatisés ? » se demandait à
son tour le Pr Jean Bernard.
D'après
le Pr Richard DeLong, virologue de l'université de Toledo
(Texas) il existerait un équilibre fiable entre le système
immunologique humain et les virus naturels, et la rupture de cet
équilibre pourrait avoir des conséquences
imprévisibles.
Pour
sa part, le Pr Jules Tissot, qui a étudié in vivo et in
vitro le développement des microbes, nous met en garde :
« L'immunité par vaccination ne s'acquiert qu'en
conférant à l'individu la phase chronique de la maladie
qu'on veut précisément éviter, phase chronique
qui comporte, dans un avenir proche ou très éloigné,
de retoutables complications ». Les vaccinations
apparaissent donc comme des éléments perturbateurs
incontrôlables.
De
toute manière, les vaccinations ne procurent pas la
même immunité que les maladies, et les taux
d'anticorps mesurés après les vaccinations sont
généralement inférieurs à ceux qui sont
mesurés après les maladies. De plus, l'immunité
conférée par la maladie est définitive., ce
qui n'est pas le cas pour la vaccination dont la protection, si
protection il y a, est limitée dans le temps (cf; La Presse
médicale, tome 17, supplément n)1, mais 1998).
En effet, chez la majorité des sujets touchés par les épidémies, on constate une séroconversion post-vaccinale incluant, dans certains cas, une diminution progressive de l'immunité, ce qui entraîne un recul de l'âge moyen de la survenue de la maladie.
Les
maladies autrefois réservées à l'enfance sont
beaucoup plus graves chez la population plus âgée, et la
mortalité est alors multipliée par dix.
De
surcroît, les enfants sont vaccinés bien souvent dans
les quelques mois, parfois même les quelques jours, qui suivent
la naissance. Or, d'après le rapport du Comité médical
de la Fondation de la déficience immunitaire, publié en
1992 : « la plupart des déficiences immunitaires
ne peuvent être diagnostiquées avant l'âge de un
an ». Il est donc évident que cette pratique est
irresponsable et dangereuse, et que chaque vaccination d'un très
jeune enfant est un jeu de roulette russe.
(...)