PARLONS ENFIN DES PUCES ET MEFIONS-NOUS..(fin)
(...)
Un grand nombre de médecins et d'infirmières se sont alors demandé, non sans raison, pourquoi ils devaient appliquer un « protocole particulier » pour administrer cette injection et pourquoi il fallait donner une inclinaison singulière à la seringue et une pression très forte pendant plusieurs secondes à l'endroit de l'injection. «Ce fait rattaché au « protocole spécial » est d'autant plus étrange dans l'administration d'un vaccin qu'il ressemble en tous points à la manière dont on injecte un « implant électronique » servant à l'identification personnelle, fabriqué, entre autres, par Texas Instrument. La méthode est aussi semblable à celle utilisée pour l'injection de cristaux liquides afind'empêcher leur retour dans la seringue » avait constaté Serge Monast, un journaliste d'investigation, décédé depuis dans de mystérieuses conditions.
A
l'époque, on avait demandé à des centres
spécialisés d'avoir des mesures de sécurité
et d'observation exceptionnelles, ce qui avait déjà
entraîné des quantités de questions sur le
contrôle mondial de la population, comme il en court tant
actuellement sur les sites Internet et qui font enrager notre
ministre de la Santé.
Ces
rapports entre la puce et le virus de la grippe A ne peuvent qe
confirmer les craintes qui entourent ce vaccin. A présent,
nous sommes bien certains d'être dans Le Meilleur des
Mondes décrit par Aldous
Huxley ou dans Npous Autres
d'Eugène Zamiatine ou encore dans This Perfect Day,
d'Ira Leven, dont le message est clair : la technologie menace
l'Homme et sa Liberté.
Point
n'est besoin d'être paranoïaque pour imaginer la
possibilité de l'installation de systèmes de contrôle
et d'influence dans le style de « Big Brother »
comme dans 1984 de
George Orwell. Les pouvoirs dans notre monde n'ont pas arrêté
de se centraliser, et certaines orientations d'action de responsables
d'organisations importantes font tout naturellement surgir des
questions inquiétantes sur leurs réelles intentions.
Georgio
Agamben, ajuteur d'Homo Sacer
paru au Seuil en 1997, résume bien la situation : »
Il y a quelques années, j'avais écrit que le paradigme
politique de l'Occident n'était plus la cité, mais le
camp de concentration, et que nous étions passés
d'Athènes à Auschwitz.(...) Je voudrais suggérer
que le tatouage était sans doute apparu à Auschwitz
comme la manière la plus normale et la plus économique
de régler l'inscription et l'enregistrement des déportés
dans les camps de concentration. Le tatouage biopolitique que nous
imposent maintenant les Etats-Unis pour pénétrer sur
leur territoire pourrait bien être le signe avant-coureur de ce
que l'on demanderait plus tard d'accepter comme l'inscription normale
de l'identité du bon citoyen dans les mécanismes et les
engrenages de l'Etat. C'est pourquoi il faut s'y opposer ».
Aussi,
nous devons rester vigilants et garder notre lucidité. Tant
que la puce reste implantée sur un objet, nous pouvons
toujours échapper à ce pistage en nous débarrassant
de ces objets, mais lorsqu'elle sera implantée dans notre
corps, nous ne pourrons pas nous débarrasser de ce dernier.
(paru dans VOTRE SANTE décembre 2009)