QUELLE EAU BOIRE ?
Notre corps a besoin d'une eau salubre, possédant de bons facteurs électriques, les plus compatibles avec le métabolisme de notre corps. Cette approche de la bio-électrique de Vincent est commune à la naturopathie.
L'eau
ingérée remplira d'autant mieux ses fonctions de
transporteur des nutriments vers les cellules et d'élimination
des déchets qu'elle sera elle-même peu chargée en
minéraux.
L'eau
du robinet
Aux fortes charges de minéraux contenus dans les eaux du réseau des régions calcaires s'ajoutent les polluants et les produits servant à désinfecter l'eau.
L'eau
est en effet, stérilisée à grands coups de
chlore et d'ozone, produits hautement oxydants et néfastes
pour la qualité de notre terrain. L'aluminium, utilisé
pour rendre l'eau plus transparente, est largement impliqué
dans les maladies neuro dégénératives comme la
maladie d'Alzheimer. Selon Henri Pézerat, toxicologue et
directeur de recherche honoraire au CNRS « plusieurs
études épidémiologiques ont en effet conclu a
une augmentation notable de l'incidence de la maladie d'Alzheimer
avec une concentration anormalement élevée de
l'aluminium dans l'eau ».
Il
subsiste bien souvent après le traitement des eaux, des
pesticides, des nitrates, des métaux lourds, comme ceux
provenant des vieilles canalisations en plomb, et dissous par
certaines eaux « agressives », des produits
radioactifs, des bactéries, des virus ainsi que des traces
hormonales. Une bonne partie des médicaments et hormones que
nous assimilons est éliminée dans les urines,
elles-mêmes présentes dans les eaux usées puis
retraitées.
Le
calcaire de l'eau
S'il est aisé pour la plante d'absorber les minéraux issus du sol, il en est tout autrement pour l'homme. L'être humain doit passer par le monde végétal ou le monde animal pour pouvoir absorber de façon optimale ses minéraux.
Ainsi
mieux vaut consommer des amandes, des légumes verts à
feuilles, voire raisonnablement des produits laitiers pour fournir à
notre corps le calcium dont il a besoin plutôt que de l'eau
calcaire ! A contrario, le calcaire, substance inorganique, un
carbonate de calcium, ne peut être absorbé par l'homme
en l'état. Pire, il entrerait en compétition avec le
calcium organique issu du monde végétal ou animal,
limitant son absorption.
Si le corps n'assimile pas le calcaire, il devra l'éliminer. Tant que les quantités absorbées ne dépassent pas les capacités fonctionnelles du filtre rénal, tout va bien.
En
cas de saturation, le corps devra se contenter de le stocker. Le
professeur Louis-Claude Vincent relate ce cas : dans une région
très calcaire du Liban, un homme souffrait d'une telle douleur
cardiaque qu'il dut se faire opérer pour survivre. A
l'opération, le chirurgien fut fort surpris de voir que son
cœur était en fait enfermé dans une gangue de
calcaire. Après retrait de celle-ci, le patient put revivre
normalement. Par ailleurs le docteur Pierre Bressy fait le lien entre
les excédents de minéraux de l'eau et les dépôts
présents dans les vaisseaux sanguins lors de maladies
cardiovasculaires.
Quid
de l'eau minérale ?
Les eaux minérales font vivre les grands groupes de l'agroalimentaire plus qu'elle nourrissent notre santé !
En effet, en plus de leur prix 200 à 300 fois supérieur à celui de l'eau du robinet, elles possèdent des minéraux qui n'ont une action bénéfique que lorsqu'elles sont prises à la source. C'est l'empreinte énergétique, mémoire des lieux harmonisés qu'elles ont traversés, qui fournit des minéraux « vivants ». Aussi, une eau trop minéralisée possède des inconvénients proches de ceux évoqués à propos du calcium.
Les eaux de source qui possèdent une faible minéralité, inférieure à 150 mg par litre, sont plus satisfaisantes à condition de répondre aux critères suivants.
Le professeur Louis-Claude Vincent a longuement étudié l'importance de la qualité de l'eau dans l'évolution des maladies chroniques dégénératives comme le cancer, ainsi que leur incidence sur la qualité de notre terrain. Il a pu établir qu'une eau bonne pour la santé, c'est-à-dire qui ne fera pas le lit du développement dans notre corps de virus, de bactéries, de champignons ou de maladies, devrait être légèrement acide (ph entre 6 et 7), peu minéralisée, autrement dit contenant moins de 120 mg de résidus secs par litre à 180°C, ayant une résistivité située entre 6 000 et 100 000 ohms et légèrement réductrice (rh entre 24 et 28), c'est-à-dire à l'opposée des eaux du robinet oxydées, traitées par le chlore. Ces indications figures normalement sur les étiquettes des eaux en bouteilles.
Or
si certaines bonnes eaux de source satisfont à ces points,
elles rentent néanmoins chères, conditionnées en
bouteilles plastique (pas toujours recyclé) et leur usage est
souvent limité à l'eau que nous buvons.
L'eau
filtrée par osmose inverse
Filtrer l'eau du robinet par un filtre à osmose inverse possède l'avantage de créer une eau quasi pure, puisque seules les molécules d'eau et quelques minéraux passent la barrière très sélective du filtre et répondent aux critères de la bioélectronique de Vincent. L'au perd son côté alcalin et oxydé et augmente sa résistivité. Il ne reste plus qu'à la réinformer correctement en l'exposant par exemple quelques heures à la lumière ou au soleil dans un bocal en verre, pour lui redonner sa bonne structure moléculaire.
(Alain Huot, Biocontact mars 2010)